Un beau jour, ou plutôt une belle nuit, après cinq semaines passées dans le service des grossesses pathologiques, le travail s’est sournoisement remis en route. Je dis sournoisement parce que d’après le Nième monito, tout allait bien. Et aussi parce qu’à force de me réveiller chaque matin avec les bébés encore dans mon ventre, je commençais à me dire que je tiendrai peut-être jusqu’au bout. Et pourquoi pas 34 semaines ? Ou 37 même ! Pourquoi pas ?! Alors on m’a donné deux spasfons pour que je dorme tranquille. Mais une heure plus tard, Continuer à lire … « Prématurité #4 – 9 mars 2013 – le sprint après la course de fond »